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Ce que la vie doit \u00e0 la mort: quand la matriarche de famille tire sa r\u00e9v\u00e9rence<\/h3>\r\n\t

\u00ab\u00a0Comme chez les \u00e9l\u00e9phants, la matriarche humaine est le pilier central de la famille\u00a0\u00bb, \u00e9crit\u00a0<\/span><\/span>Boucar, qui a perdu sa m\u00e8re l\u2019an dernier. \u00ab\u00a0C<\/span><\/span>\u2019<\/span><\/span>est pour me relever de sa disparition que j\u2019ai \u00e9crit\u00a0<\/span><\/span>ce modeste bouquin \u00bb. Un livre aussi touchant qu\u2019instructif et tendre.\u00a0 <\/span><\/span>Avec sa verve habituelle, son humanisme lucide et son sens inn\u00e9 de la vulgarisation scientifique,\u00a0<\/span><\/span>Boucar nous rappelle quelques v\u00e9rit\u00e9s essentielles de l\u2019existence. De celles qui nous aident \u00e0\u00a0<\/span><\/span>apprivoiser la mort mais aussi \u00e0 profiter pleinement de la vie puisque qu\u2019elles \u00ab\u00a0sont les deux\u00a0<\/span><\/span>faces d\u2019une m\u00eame pi\u00e8ce \u00bb. <\/span><\/span>Qu\u2019il \u00e9voque ce que lui ont l\u00e9gu\u00e9 ses anc\u00eatres ou qu\u2019il partage avec nous ses connaissances, le\u00a0<\/span><\/span>conteur biologiste fait le lien entre le monde r\u00e9el et celui qui nous habite. Et nous assure que\u00a0<\/span><\/span>nos m\u00e8res vivent en nous, autant sur le plan spirituel que mat\u00e9riel. \u00ab\u00a0Comme dit le proverbe\u00a0<\/span><\/span>africain, l\u2019\u00e9l\u00e9phant meurt, mais ses d\u00e9fenses demeurent.\u00a0\u00bb Parole de Boucar!<\/span><\/span><\/p>\r\n

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