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\u200b\u200b\u200bPerdre un fr\u00e8re ou une s\u0153ur, c\u2019est un cataclysme dont on ne mesure pas souvent l\u2019ampleur. Pourquoi est-ce fondamental de pr\u00eater attention \u00e0 la souffrance des enfants qui restent\u2009 ? Les r\u00e9ponses de Val\u00e9rie Br\u00fcggemann, psychoth\u00e9rapeute\u200b.<\/p>\r\n\t