20 janvier 2018
« »Les adultes qui ont été soignés pour une leucémie dans l’enfance développent des effets secondaires de nombreuses années après et ont globalement une qualité de vie inférieure à celle de la population dans son ensemble. Néanmoins nous avons constaté qu’à exposition thérapeutique identique certains ont des effets secondaires, tandis que d’autres non. Nous nous demandons donc s’il y a une susceptibilité génétique qui favorise la survenue de ces effets secondaires tardifs » explique le Pr Gérard Michel, Chef du service de Pédiatrie et hématologie pédiatrique de l’hôpital de la Timone à Marseille. Déterminer l’existence de ces prédispositions génétiques sera l’enjeu du projet CRYO-LEA, qui va étudier le génome d’au moins 2.000 anciens patients.»
Sciences et Avenir, 20 janvier 2018. Lire la suite.