6 decembre 2019
« On a appris que la tumeur était maligne, mais qu’elle n’était plus dans sa tête. […] Vendredi, on a une ponction lombaire pour voir s’il y a des cellules qui ont résisté au niveau de sa colonne. L’oncologue va nous présenter un plan de match. Il y aura peut-être de la radiothérapie ou de la chimiothérapie par prévention. Mais le gros nerf de la guerre est passé. »
Journaldemontreal.com, 3 décembre 2019. Lire l’article.