9 juin 2017
« Pour bien des gens, lorsqu’ils entendent les mots « soins palliatifs », cela signifie qu’il n’y a plus d’espoir. Et pourtant, c’est tout le contraire qui se produit puisque les enfants, confrontés à la maladie, sont empreints d’espoir. L’espoir va au-delà de la vie, de la mort et de la guérison. En fait, l’espoir comporte plusieurs dimensions que des enfants atteints d’un cancer ont exprimées, entre autres, par le biais de l’art », ajoute la professeure. L’un des éléments avancés par Véronique Roberge est que l’expérience de l’espoir se vit à travers le temps. Et l’espoir n’est pas seulement lié à la guérison. Un enfant atteint de cancer, affaibli ou diminué par les traitements, peut nourrir l’espoir de jouer à nouveau au hockey, de marcher, de retrouver l’usage de son bras. L’espoir, c’est attendre avec confiance.
Le Quotidien, 20 mai 2017. Lire l’article.