22 janvier 2020
Contrairement à ce qu’on a longtemps cru, la chimiothérapie administrée à des garçons avant leur puberté risque d’affecter leur fertilité future, comme c’est le cas chez les jeunes patients pubères, révèle une étude parue dans Plos One. Celle-ci met également en évidence les effets délétères des anthracyclines, des anticancéreux pourtant reconnus comme inoffensifs pour la fertilité, sur l’ADN des spermatozoïdes.