8 juillet 2021
Une étude internationale coordonnée, en partie par le Dr Gudrun Schleiermacher, oncopédiatre et chercheuse à l’Institut Curie, montre que les altérations du gène ALK, identifiées en 2008 par l’équipe du Pr Olivier Delattre à l’Institut Curie, sont associées à un mauvais pronostic du neuroblastome à haut risque. Des résultats qui plaident en faveur de l’introduction des inhibiteurs de ALK dès le diagnostic. Ces travaux sont publiés dans le Journal of Clinical Oncology.